Un post LinkedIn publié par le responsable informatique d’un grand établissement de soins a récemment attiré mon attention. Il disait ceci : « Nos collaborateurs ont un smartphone, un ordinateur portable, un téléphone DECT et… un trousseau de clés. Ne pourrait-on pas simplifier les choses ? » J’ai bien envie de répondre : oui, on peut tout ramener à un seul appareil. Le mobile only est même la seule approche valable pour certaines fonctions.
 

En tant que responsable du marché des soins de santé et de l’éducation chez Samsung, j’ai évidemment toute confiance en la technologie. Je n’aime pas dépendre d’une multitude d’appareils différents, car cela implique de constamment choisir quel appareil utiliser. Je préfère donc un seul appareil puissant qui me donne accès à l’ensemble de mes données et logiciels essentiels.
 

En d’autres termes : la configuration que vous utilisez détermine la qualité et l’efficacité de votre travail. C’est le sujet de cet article.

De nombreux services informatiques ont adopté une stratégie mobile first, ces dernières années. L’essor du travail à distance en période de covid a renforcé cette tendance et a orienté encore plus d’organisations vers le cloud et le SaaS.
 

En quoi consiste le mobile first pour moi et mes collègues de Samsung ? Il s’agit de faire en mode mobile tout ce qui peut se faire de cette manière et d’utiliser un ordinateur de bureau ou un ordinateur portable pour le reste, par exemple quand on a besoin de plus d’espace à l’écran. Si tous vos appareils sont connectés et synchronisés via un écosystème unique, vous avez la possibilité de poursuivre votre travail à tout moment et sur n’importe quel appareil.

Que constatons-nous aujourd’hui ? Les collaborateurs à certains postes ont tendance à laisser leur ordinateur portable de côté.
 

Ce que le responsable informatique d’une organisation de soins de Rotterdam m’a récemment dit est révélateur : « Les collaborateurs chargés des soins à domicile reçoivent d’office un ordinateur portable et un smartphone. Ils finissent par abandonner leur ordinateur portable au bout de quelques jours. Il est en effet trop encombrant ; ce n’est pas pratique pour se rendre au domicile des patients. Les collaborateurs effectuent tout leur travail sur un smartphone, à l’aide d’apps intelligentes. »
 

Le mobile first cède ainsi le pas au mobile only. Les avantages sont légion. Un seul appareil s’avère plus pratique pour les collaborateurs, mais aussi pour vous au service informatique. Il est plus compact, ce qui facilite le transport. Qui plus est, les collaborateurs ont souvent l’habitude de ne travailler qu’avec un seul appareil, car c’est aussi ce qu’ils font chez eux.
 

L’organisation y gagne également : elle ne doit acheter, sécuriser et entretenir qu’un seul appareil par collaborateur. De quoi faire des économies ! Sans parler des déchets d’équipements électroniques en moins.
 

D’ailleurs, quand on se penche sur le marché des soins de santé, mon domaine de spécialité, on constate d’importantes pénuries de personnel. La technologie mobile pratique et les applications intelligentes, notamment les rapports vocaux basés sur l’IA, sont indispensables pour travailler efficacement. Et pour se concentrer sur le plus important.

Vous vous dites peut-être qu’il n’est pas possible de travailler uniquement sur votre smartphone. Vous avez raison : je ne recommande le mobile only qu’à des profils spécifiques. Les professionnels qui sont en déplacement entre 80 et 90 % du temps pour leur travail : les agents, le personnel d’entretien, les commerciaux, les prestataires de soins de santé, les techniciens de terrain… Il est primordial qu’ils n’aient pas à s’encombrer de multiples appareils technologiques. Il leur faut un appareil compact capable de tout faire.
 

Prenons l’exemple de ma fonction. Je suis commercial. J’ai donc des entretiens quotidiens avec les clients et je dois rédiger des rapports a posteriori. Bien qu’il ne s’agisse pas de ma tâche principale, ce reporting est essentiel dans le cadre du processus de vente. Il en va de même pour le prestataire de soins qui se concentre sur le patient. Et pour l’agent qui veut garder les mains libres pour les victimes et les interventions.
 

Pour dresser ces rapports à mon bureau, j’ai besoin de plus d’espace à l’écran. Je n’utilise pas d’ordinateur portable. Mon smartphone Galaxy S est équipé de Samsung DeX. Cette fonctionnalité me permet de créer une véritable expérience de bureau, en connectant mon smartphone à mon moniteur professionnel. Les apps s’affichent comme sur un bureau normal. Si j’y ajoute une souris et un clavier, me voilà en mode mobile only, sans ordinateur portable.

Le matériel ne fait évidemment pas tout pour le travail mobile only. Les logiciels doivent suivre. C’est ce qui s’est révélé être le point faible ces dernières années. C’est pourquoi Samsung a examiné l’ensemble de la chaîne. Nous collaborons avec de grandes entreprises technologiques telles que Google, Cisco et Microsoft, ainsi qu’avec des éditeurs de logiciels locaux, pour tout aligner à la perfection grâce à notre plateforme ouverte : de l’expérience utilisateur à la sécurité, en passant par la gestion de la solution.
 

Toutes les fonctionnalités et tous les environnements informatiques ne sont néanmoins pas adaptés au travail mobile only. Je recommande donc d’évaluer chaque situation au cas par cas. Comment s’organise la journée de travail ? Comment se présente le paysage des applications et des accessoires ? C’est le seul moyen de mettre en place la stratégie mobile only idéale.

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